Bernard Cadene aurait dû être musicien. Son grand-père, chef de la musique des mines à Decazeville, et son père l'étaient. La musique, violon et
contrebasse, contribuera à financer ses études...de peinture. Bernard Cadene aime
et collectionne les prix : 18 premiers prix, ainsi que le grand prix Lefranc. |
Bernard Cadene a besoin de bouger et déjà les nouvelles technologies de l'image le fascinent. En 1966, il réussit le diplôme supérieur de création publicitaire. Cette réussite ne le quittera plus. La fin des années 60 annonce la montée en puissance de la communication moderne, Bernard Cadene est de ce mouvement. Individualiste, il n'aime pas être sous les ordres. Il préfère être le premier chez lui que le second à Rome. Il crée successivement deux entreprises de communication. Mais le démon de la
peinture ne l'a pas quitté, il n'était qu'endormi. Il se réveille au début
des années 80. Bernard Cadene cale son chevalet et se remet au travail.
En quelques mois, il retrouve les gestes. Sa créativité a mûri sans s'être
assagie. Comme
pour la communication, la réussite est encore au coin de l'aventure. Il
expose dans plus de quinze galeries en France, en Europe et aux Etats
unis. Bernard Cadene est
référencé dans la côte des peintres AKOUN.
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